Questionnaire
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Coco Hawkeye
Zina
Elliot Flint
Greed
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Riza Hawkeye
10 participants
The-fma-world :: Avant RP :: Niveau de RP :: Questionnaire
Page 1 sur 1
Questionnaire
Combien de ligne pensez vous rédigez en générale?
Que pensez vous de votre niveau d'orthographe, conjugaison, grammaire? (noter le sur 10)
Rédigez un RP à partir du sujet ci dessous. Tous les membres doivent s'y plier sans exception.
Sujet :
Que pensez vous de votre niveau d'orthographe, conjugaison, grammaire? (noter le sur 10)
Rédigez un RP à partir du sujet ci dessous. Tous les membres doivent s'y plier sans exception.
Sujet :
- Spoiler:
Au cœur de central , une panique totale .
Pensez-vous
que cette ville est tranquille ? Depuis peu un tueur sanglant s'acharne
sur ses victimes totalement au hasard , dans un endroit bien précis ;
une ruelle sombre , là où les Homonculus passent pour ne pas se faire
repérer et les humains y pressent pour raccourci , bien que pressant le
pas . Petite rue étroite en sombre dont les murs vieillis sont depuis
récemment tachés de sang , presque recouvert . Quelle jolie couleur ,
le sang ... Virant du pourpre au vif selon la quantité arrachée aux
victimes de diverses façons.
Cette
journée fût lumineuse et claire , le vent se faisait rare et très doux.
La température avoisinait les 36° environs pour à peine 10h45. Malgré
ce temps magnifique , une personne était pressée mais malgré son manque
de temps elle ne voulait pas passé par la rue nommé "La Mort" depuis un
moment. Rare ceux sont qui pouvaient sortir intact de ladite rue de la
mort ... Mais ce n'est pas l'envie qui allait gérer son temps , en
temps que militaire , le sous-lieutenant Kiba ne pouvait pas être en
retard , sous peine de réprimande et de dégradation , aujourd'hui ce
passé une réunion importante ...
J'attendais
qu'il passe. Je me ferai sanglante , violente , je veux l'entendre
hurler , crier qu'il souffre , en aire venir d'autres pour m'amuser
d'autant plus !!! Viens petit militaire , viens je t'attends. Décide
toi abruti !!! Avance !!! Avance je te dis !!! Ce n'est pas trop tôt.
Le militaire s'engage dans MA rue, il regarde derrière lui toute les
5secondes. Je sors de mon «trou» , du faux-sang sur le visage.
-Je vous en prie aidez moi !
Je
fais semblant de tomber , m'accrochant à ses épaules . Dans un
hurlement , il exprime sa douleur. N'aie-je pas dit que j'ai des clou
accrochés sur mes gants ? Ceux-ci vinrent dans le tendon de l'épaule
juste au dessus de la clavicule. Ô comme tu souffres, tu effondres.
-Tu n'aurais pas dût passer par ici tu sais ?
Je
ramasse un morceau de métal assez pointu et coupant. M'approchant de
lui avec un regard des plus froid et des plus méchants , il tremble. Ô
oui , toi je vais prendre plaisir à te tuer , mais d'abord je veux te
voir souffrir ! Dans un geste des plus vifs je plante l'objet dans ton
épaule , le sang gicle sur ma figure et toi tu hurles , le sang coulant
de ta blessure . Pour encore plus m'amuser , je le retire et asperge
ton épaule d'alcool 90°. Je sais que tu as mal , tu pleures presque.
-ARRÊTE DE CHIALER !
Je
te frappe au visage à plusieurs reprises. Le militaire saigne de
l'arcade sourcilière. A-t-il mal ? Sûrement , mais mon petit traitement
n'est pas fini. J'enfonce mon index dans la plaie et bouge vivement
celui-ci , je m'amuse à tripoter la chair chaude à l'intérieur de ton
corps, c'est chaud et mouillé. Ton sang gicle encore plus tandis que
j'enfonce mon doigt, déchirant ta chair. L'homme hurle à nouveau. D'une
claque, je l'assomme légèrement , il est comateux. Enlevant mon doigt
de son corps , je le vois se cambrer.
Après
mettre levé , je le toise d'un air hautain . J'affiche le plus beau de
mes sourires sadiques. Attrapant le jeune homme par les pieds , je le
tire un peu plus loin.
Une
fois arrivée prêt de l'issu de la rue je commence à lui lacérer la gore
avec mes ongles , certes ceci prendra du temps mais il souffrira et moi
je jouirais de cette sensation de supériorité.
-Wouaf wouaf
Un
aboiement ? Un chien ici ? Tant pis , il y passera aussi. Tandis que je
continue de « gratter » le cou de ma victime afin que celle-ci s'ouvre.
Alors que les rougissement jusqu'ici présent commence à s'ouvrir , je
jubile de plaisir voyant ainsi le liquide rougeâtre couler doucement.
Toute excitée de ma réussite , je continue , appuyant encore plus sur
mes ongles tranchant.
-Wouaf
-Putain encore ce clepse ?
Je
décide d'enfin laisser le militaire s'étouffer , suffoquer et mourir de
son manque d'air. Je me relève et me dirige vers le sale bâtard qui
aboie. Un petit chien , certainement un chien européens , après tout je
m'en fou. Lui infligeant un bon coup de ranger dans le crâne , je
l'assomme. Une fois après qu'il se soit allongé , je m'abaisse.
L'attrapant par le collier , je le soulève , il n'est pas bien lourds ,
quelques kilos seulement. Je le prends par le crâne et le lui explose
dans le mur. La j'entends un souffle, je me tourne vers le militaire ;
c'est un souffle posté mortem , rien de grave Le chien ayant la tête
exploser , , je me décide à le cloué contre une planche en bois avec la
pose de Jésus Christ. Après avoir trouver une planche , je m'amuse
d'abord à craquer ses os et éclater les muscles en tirant dessus.
Inutile de dire que ceci est facile puisque qu'il est mort , ses
muscles se sont tendus, donc en tirant très fort dessus , ils craquent.
Ceci fait, Je me dépêche de le cloué vite fait et de lui ouvrir le
ventre afin de le vider complètement. Ma tâche achevé je m'en vais ,
les flics ne devraient pas tarder je m'en vais donc. Je reviendrai plus
tard sûrement.
-Tiens j'ai une petite faim moi.
Dis-je avec un grand sourire en sortant de ma petite rue.
Riza Hawkeye- Admin
-
Nombre de messages : 7357
Age : 30
Localisation : Suis les traces de sang, les douilles, les aiguilles, couteaux et autres instruments de cette sorte.
Date d'inscription : 13/01/2008
Fiche de Vie
Niveau de RP:
(10/20)
Point de vie:
(300/300)
Expérience:
(300/300)
Re: Questionnaire
Je rédige toujours 20/25 lignes. J'ai un correcteur d'ortographe, donc je pense que je peux noté 6/10.
"Je marchais paisiblement dans la grande rue de central. J'ai de plus en plus faim. A la sortie de la ville, je vit un cadavre de vache. Tout frais. Mes muscles se détendent, je me jettent dessus, et arrache la chaire que j'enfourne dans ma bouche. L'odeur de moisi règne dans tout mon corps, et je m'amusa à démembré tous les charognards, venu satisfaire leurs ventres affamés.
Je retourna faire la sieste dans ma ruelle, sombre et malodorante. Le ciel est rouge, il pleut du sang, les gens ont tous un sourire, identique, effrayant, si attirant. Je veux le leurs arracher de leurs visages, les voir tomber comme des poupées de chiffon... Le crépuscule vint étendre ses bras sanglants, et les corbeaux se mirent à croassé, chant morbide annonçant l'heure de la mort.
Il est 22 heure, et toujours personne n'est venu dans ma rue. Je m'ennuie, sans personne à faire souffrir. Et si, pour une fois, je me faisais souffrir. J'attrape le couteau de boucher qui trône à mes côtés, éternelle compagnon mortuaire. Je commence par faire une entaille sur chaque doigt. Le sang coule, en l'aspirant, sa saveur sucré et unique remplit ma gorge. Encore, et c'est ainsi que chaque parti de mon être fut ébréché. Pourquoi ils crient? C'est tellement agréable. L'aube et ses cheveux couleur de chair fraîche se lève. Un groupe d'enfants arrivent dans ma ruelles... Je les martyrisent, ils crient. Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Et vint le tour d'une femme, d'un étudiant, du marchand de chaussure d'en face.... Mais pourquoi sont-ils tous tristes? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Je prend le couteau et inflige à mon corps leurs traitements. C'est tellement agréable! Mes yeux se ferment et je m'endors, éternelle Belle au Bois Dormant meurtrière...
"Je marchais paisiblement dans la grande rue de central. J'ai de plus en plus faim. A la sortie de la ville, je vit un cadavre de vache. Tout frais. Mes muscles se détendent, je me jettent dessus, et arrache la chaire que j'enfourne dans ma bouche. L'odeur de moisi règne dans tout mon corps, et je m'amusa à démembré tous les charognards, venu satisfaire leurs ventres affamés.
Je retourna faire la sieste dans ma ruelle, sombre et malodorante. Le ciel est rouge, il pleut du sang, les gens ont tous un sourire, identique, effrayant, si attirant. Je veux le leurs arracher de leurs visages, les voir tomber comme des poupées de chiffon... Le crépuscule vint étendre ses bras sanglants, et les corbeaux se mirent à croassé, chant morbide annonçant l'heure de la mort.
Il est 22 heure, et toujours personne n'est venu dans ma rue. Je m'ennuie, sans personne à faire souffrir. Et si, pour une fois, je me faisais souffrir. J'attrape le couteau de boucher qui trône à mes côtés, éternelle compagnon mortuaire. Je commence par faire une entaille sur chaque doigt. Le sang coule, en l'aspirant, sa saveur sucré et unique remplit ma gorge. Encore, et c'est ainsi que chaque parti de mon être fut ébréché. Pourquoi ils crient? C'est tellement agréable. L'aube et ses cheveux couleur de chair fraîche se lève. Un groupe d'enfants arrivent dans ma ruelles... Je les martyrisent, ils crient. Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Et vint le tour d'une femme, d'un étudiant, du marchand de chaussure d'en face.... Mais pourquoi sont-ils tous tristes? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Je prend le couteau et inflige à mon corps leurs traitements. C'est tellement agréable! Mes yeux se ferment et je m'endors, éternelle Belle au Bois Dormant meurtrière...
Lilys-
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Age : 29
Localisation : la pâtisserie de Central
Date d'inscription : 18/04/2009
Fiche de Vie
Niveau de RP:
(10/10)
Point de vie:
(0/0)
Expérience:
(0/0)
Re: Questionnaire
Hum 30/50 lignes, note 4/10
Je cours dans cette ville, ville silencieuse le matin, ville
de tout les plaisirs le soir, ville de justice le jour, ville de peur au
crépuscule, je suis l'ombre de cette ville du crépuscule, l'animal dansant dans
le sang des personnes faibles. Marchant parmi les hommes, l'allure humaine,
l'âme démoniaque, je suis le dieu de la mort qui hante les rues de cette ville
pure, comme la Faucheuse,
je vide les rues des couineurs et des pleureuse qui on peur de ce doux voyage
qu'on appelle la mort. Je marche dans les rues de cette ville, tels l'ange de
la mort cherchant sa prochaine âme à extirpé de son corps. Les yeux pleins de
sang, des yeux humain mais cependant ils appartiennent à un animal, je suis un
animal qui abreuve de sang, tels les vampires des légendes anciennes. Je suis
un de ses hommes que vous pouvez appeler fou, je vous réponds que vous ne
comprenez rien à mon monde, ce que je fais est un art, personne ne peut
comprendre l'art. Je suis l'artiste de cette ville, comme certain crever dans
la pierre, moi je grave dans la chair, je prends plaisir à faire cela. Je suis
le sabre fou de cette ville qui cherche son fourreau. Marchant dans cette
rue, guidé par une faim qui déchiqueté mes intestins comme si une lame venait
dans mon être et s'amuser avec ma chair, avec mon moi intérieur, drôle de
sensation que la faim, n'est-ce pas ? Je marche les yeux fixer vers un bâtiment,
un restaurant, mais cela n'était pas pour moi, bien trop chers pour mon simple
art qui ne me rapporter rien, toujours le sang au visage. La faim devenait peu
à peu moins présente, laissant place à une envie plus primitive, une envie de
sang, une envie de cri, une envie de meurtre en gros. Je repartie à la chasse
sur mon terrain préféré après la rue de la mort... les quartiers pauvres, les
quartiers Ishbals. Marchant d'un pas lent mais sur, les oreilles bougeant,
faisant des mouvements de va et viens, un regard avec des yeux complètement
disproportionné, des dents dépassant de ma lèvre supérieur et maintenant un
autre de mes camarades me rejoins et encore un autre puis un autre, maintenant
nous étions 10, une groupe, une meute d'animaux, armé de mon arme préféré, ce bâton,
arme que je préfère pour torturer mes victimes, l'étouffant, pouvant voir la
vie quitté les yeux de cette personne, ce moment est jouisse, un pur moment
d'extase. Bientôt j'allais lâcher mon crie barbare, voyant mes prochaines
victimes qui commencèrent à prendre la fuite. Il avait comprit en voyant mes
oreilles de grandeurs anormal pour mon espèce, mon regard complètement dingue
et ma ventouse dans mes mains. Je partie au faire d'autre victime de ma
crétinerie extrêmes, lançant mes ventouse et lâchant un simple crie. Voici venu l'heure des lapins crétins.
NYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.
Je cours dans cette ville, ville silencieuse le matin, ville
de tout les plaisirs le soir, ville de justice le jour, ville de peur au
crépuscule, je suis l'ombre de cette ville du crépuscule, l'animal dansant dans
le sang des personnes faibles. Marchant parmi les hommes, l'allure humaine,
l'âme démoniaque, je suis le dieu de la mort qui hante les rues de cette ville
pure, comme la Faucheuse,
je vide les rues des couineurs et des pleureuse qui on peur de ce doux voyage
qu'on appelle la mort. Je marche dans les rues de cette ville, tels l'ange de
la mort cherchant sa prochaine âme à extirpé de son corps. Les yeux pleins de
sang, des yeux humain mais cependant ils appartiennent à un animal, je suis un
animal qui abreuve de sang, tels les vampires des légendes anciennes. Je suis
un de ses hommes que vous pouvez appeler fou, je vous réponds que vous ne
comprenez rien à mon monde, ce que je fais est un art, personne ne peut
comprendre l'art. Je suis l'artiste de cette ville, comme certain crever dans
la pierre, moi je grave dans la chair, je prends plaisir à faire cela. Je suis
le sabre fou de cette ville qui cherche son fourreau. Marchant dans cette
rue, guidé par une faim qui déchiqueté mes intestins comme si une lame venait
dans mon être et s'amuser avec ma chair, avec mon moi intérieur, drôle de
sensation que la faim, n'est-ce pas ? Je marche les yeux fixer vers un bâtiment,
un restaurant, mais cela n'était pas pour moi, bien trop chers pour mon simple
art qui ne me rapporter rien, toujours le sang au visage. La faim devenait peu
à peu moins présente, laissant place à une envie plus primitive, une envie de
sang, une envie de cri, une envie de meurtre en gros. Je repartie à la chasse
sur mon terrain préféré après la rue de la mort... les quartiers pauvres, les
quartiers Ishbals. Marchant d'un pas lent mais sur, les oreilles bougeant,
faisant des mouvements de va et viens, un regard avec des yeux complètement
disproportionné, des dents dépassant de ma lèvre supérieur et maintenant un
autre de mes camarades me rejoins et encore un autre puis un autre, maintenant
nous étions 10, une groupe, une meute d'animaux, armé de mon arme préféré, ce bâton,
arme que je préfère pour torturer mes victimes, l'étouffant, pouvant voir la
vie quitté les yeux de cette personne, ce moment est jouisse, un pur moment
d'extase. Bientôt j'allais lâcher mon crie barbare, voyant mes prochaines
victimes qui commencèrent à prendre la fuite. Il avait comprit en voyant mes
oreilles de grandeurs anormal pour mon espèce, mon regard complètement dingue
et ma ventouse dans mes mains. Je partie au faire d'autre victime de ma
crétinerie extrêmes, lançant mes ventouse et lâchant un simple crie. Voici venu l'heure des lapins crétins.
NYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.
Greed-
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Age : 31
Localisation : Devil Nest
Date d'inscription : 20/04/2009
Re: Questionnaire
Beaucoup de lignes
je fais attention pur les fautes donc 8/10
je fais attention pur les fautes donc 8/10
- Spoiler:
- D’un pas trainant il avançait, l’ennuie collé à ses chaussures comme un chewing-gum sur lequel il aurait marché. Sauf qu’à la différence du chewing-gum, l’ennuie lui collait aussi à la peau, bouchant ses pores, encombrant son cœur et son corps, le rendant chaque fois plus lourd.
Ce qu’il lui fallait c’est torturer quelqu’un, seulement même ça finissait petit à petit par l’ennuyer, les gens étaient bien souvent pareils, fades, peureux, hurlants. Elliot se demandait pourquoi ils souffraient tous de la même façon… Que c’était ennuyeux.
Bref, le soleil lui paraissait plus chaud qu’il n’était à cet instant, et il aurait bien piqué un roupillon dans un coin, quitte à ne jamais se réveiller et ne plus s’ennuyer.
Mais à la place il marchait, pris dans sa logique psychédélique du « au mieux je pourrai toujours rencontrer quelqu’un », « au pire je pourrai toujours piquer mon roupillon après ».
C’est ainsi que ses jambes le guidèrent jusque dans la rue de La Mort. Si certains en avaient entendu parler, lui pas, parce qu’il n’était jamais au courant de rien, ou alors juste de ce qui pouvait l’intéresser et donc qui concernait forcément les homonculus, et notamment Envy. L’odeur du sang lui encombra immédiatement les narines, et au lieu d’en être dégouté, il se lécha les lèvres avec envie, et se dirigea là où ça sentait si bon.
C’est ainsi qu’il tomba sur deux cadavres, celui d’un militaire et de son chien. Elliot prit une mine contrarié, et un petit air boudeur, puis s’assit par terre pour regarder.
- Ils sont mort, c’est nul, comment je vais torturer des morts moi ? Ils ne peuvent même plus souffrir.
Mais ces paroles n’étaient là que pour cacher une vexation et une colère plus profonde. Quelqu’un d’autre ici osait torturer les gens. Même si cet idiot les tuait pour finir, cela ne changeait rien au fait qu’avant cela il les avait fait souffrir. Et mal en plus. Aucun art là dedans, aucune esthétique, un véritable gâchis. Elliot à sa place aurait fait un bien meilleur travail, et en plus il ne s’en serait pas prit au chien. Quel intérêt que de torturer un animal alors que l’on ne pourra se rendre compte de sa souffrance que minimalement ? Franchement les supplications et pleures humains étaient bien plus drôles.
Il espérait bien que personne n’oserait confondre un truc si grossier avec ce que lui fournissait comme travail.
Finalement il se releva en soupirant, il avait soudainement très besoin de torturer quelqu’un et au plus vite, se venger de ce qu’il venait de voir et rendre compte de son art.
C’est ainsi qu’il s’en prit à la première pauvre victime qu’il croisa, un homme trop curieux qui avait parié avec ses amis qu’il n’avait même pas peur de s’introduire dans la rue de La Mort.
Il n’aurait jamais du, car même s’il en ressortirait vivant, jamais plus il ne connaitrait le mot « joie ».
Dernière édition par Elliot Flint le Mer 13 Mai - 19:31, édité 1 fois
Elliot Flint-
Nombre de messages : 2211
Age : 33
Localisation : Vient d'Ishbal
Date d'inscription : 24/09/2008
Fiche de Vie
Niveau de RP:
(10/20)
Point de vie:
(300/300)
Expérience:
(180/300)
Re: Questionnaire
J'peux faire beaucoup de ligne, tout dépend de ce que l'on me donne comme sujet.
Pour les fautes je pense 7/10 puisque maintenant j'ai un correcteur d'orthographe.
[EN CONSTRUCTION]
Pour les fautes je pense 7/10 puisque maintenant j'ai un correcteur d'orthographe.
- Spoiler:
Etait-ce donc vrai ? Un tueur à gage sur Central ?
Cette nouvelle arracha un rire de méprise à Zina. Encore quelqu'un qu'il allait falloir tuer pour Dante. Ou peut-être le rammener pour le soumettre à une quelconque torture pour qu'il les rejoignent... M'enfin bon.
L'Homonculus ne portait aucune attention à ce petit assassin de pacotille qui cherchait apparemment à ce faire remarquer, non son attention était tourné vers bien d'autres chose tel que le Fullmetal ... Par exemple ... Paraît-il quand ce moment il était en mission ...
[EN CONSTRUCTION]
Dernière édition par Zina le Lun 25 Mai - 14:58, édité 1 fois
Zina-
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Age : 32
Localisation : ça te regarde?
Date d'inscription : 10/11/2008
Fiche de Vie
Niveau de RP:
(10/20)
Point de vie:
(300/300)
Expérience:
(30/300)
Re: Questionnaire
Mon nombre de lignes dépend du sujet. Inspiration ou non.
Je pense à 8 ou 9/10 étant donné que je suis une maniaque de l'orthographe. Je détecte la moindre faute <>.<>
"Je marche. Encore et encore, je marche. Je dois manger, immédiatement. Il faut que je déchiquette un gros morceau de viande. Pour ce faire, je me rends chez mon patron. Il commence à pleuvoir. Cela nettoyera le sang frais sur mon visage. Je pensais à quoi déjà ? Ah oui, mon patron. Il est boucher et sert toutes sortes de viandes ... bien qu'illégale. Mais les lois sont faites pour être contournés. Pourquoi ne devrions nous pas tuer de pauvres humains ? L'éthique ? Nous n'en avons que faire. J'aime avoir ces pulsions qui me font faire souffrir ces rebus de l'humanité. Une fois que j'ai bien fait giclé leur sang, voir ces loques pantelantes. La boucherie ... je vais enfin pouvoir rassasier ma faim. Mon patron me regarde. Il affiche un grand sourire. Sûrement à cause du sang sec sur mes vêtements. Il me fait signe de passer dans l'arrière boutique et me jette plusieurs steacks de boeuf. J'imagine déjà la façon dont la bête a été dépecée par le patron. Ça me donne encore plus faim. J'arrache la nourriture avec mes dents et en une dizaine de minutes, il ne reste plus rien. J'entends une voix d'homme autre que celle du patron. Je jette un coup d'oeil dans son bureau. C'est un trafiquant. Il vient vendre deux femmes, la vingtaine et un adolescent gracile. Mon patron les enferme dans la salle froide. L'homme reviendra dans deux jours pour récupérer l'argent. Une fois le trafiquant parti, je vais voir le patron. Il m'assigne ma tâche. Je vais bien m'amuser ... Je refais le chemin jusqu'à ma rue. Et j'y attends l'homme. Il y passera obligatoirement. Il doit se faire discret par ici. Après cinq minutes d'attente, le voilà. Je sors de ma cachette et lui plante un couteau dans chacune de ses jambes. Je l'immobilise au sol et je sors d'autres couteaux. Un dans le bras, l'autre dans le thorax, et un dernier dans l'abdomen. Il souffre déjà, c'est amusant. J'attrape mon hachoir et l'agite au dessus de lui. Son visage se crispe. Je le toise et lui adresse ces quelques phrases :
"Tic Tac Tic Tac. Sens-tu ta fin arrivée ? Tic Tac Tic Tac. Tu n'aurais pas dû t'adresser à mon patron. Tic Tac Tic Tac. Chaque seconde passe et ta mort approche. Tic Tac Tic Tac. Souviens-toi bien de Barry Le Boucher. Tic Tac Tic Tac. N'oublies pas qu'il a envoyé le Diable te tuer."
Et j'enfonce mon hachoir à plusieurs reprises dans son corps. Je l'entends hurler puis pousser son dernier souffle. J'ai déjà fini de jouer. Le morceau de viande qui jonche à côté de moi pourri déjà. Je ne vais pas le rapporter au patron. Je vais juste aller dormir. Demain, j'aurai d'autres victimes ..."
Je pense à 8 ou 9/10 étant donné que je suis une maniaque de l'orthographe. Je détecte la moindre faute <>.<>
"Je marche. Encore et encore, je marche. Je dois manger, immédiatement. Il faut que je déchiquette un gros morceau de viande. Pour ce faire, je me rends chez mon patron. Il commence à pleuvoir. Cela nettoyera le sang frais sur mon visage. Je pensais à quoi déjà ? Ah oui, mon patron. Il est boucher et sert toutes sortes de viandes ... bien qu'illégale. Mais les lois sont faites pour être contournés. Pourquoi ne devrions nous pas tuer de pauvres humains ? L'éthique ? Nous n'en avons que faire. J'aime avoir ces pulsions qui me font faire souffrir ces rebus de l'humanité. Une fois que j'ai bien fait giclé leur sang, voir ces loques pantelantes. La boucherie ... je vais enfin pouvoir rassasier ma faim. Mon patron me regarde. Il affiche un grand sourire. Sûrement à cause du sang sec sur mes vêtements. Il me fait signe de passer dans l'arrière boutique et me jette plusieurs steacks de boeuf. J'imagine déjà la façon dont la bête a été dépecée par le patron. Ça me donne encore plus faim. J'arrache la nourriture avec mes dents et en une dizaine de minutes, il ne reste plus rien. J'entends une voix d'homme autre que celle du patron. Je jette un coup d'oeil dans son bureau. C'est un trafiquant. Il vient vendre deux femmes, la vingtaine et un adolescent gracile. Mon patron les enferme dans la salle froide. L'homme reviendra dans deux jours pour récupérer l'argent. Une fois le trafiquant parti, je vais voir le patron. Il m'assigne ma tâche. Je vais bien m'amuser ... Je refais le chemin jusqu'à ma rue. Et j'y attends l'homme. Il y passera obligatoirement. Il doit se faire discret par ici. Après cinq minutes d'attente, le voilà. Je sors de ma cachette et lui plante un couteau dans chacune de ses jambes. Je l'immobilise au sol et je sors d'autres couteaux. Un dans le bras, l'autre dans le thorax, et un dernier dans l'abdomen. Il souffre déjà, c'est amusant. J'attrape mon hachoir et l'agite au dessus de lui. Son visage se crispe. Je le toise et lui adresse ces quelques phrases :
"Tic Tac Tic Tac. Sens-tu ta fin arrivée ? Tic Tac Tic Tac. Tu n'aurais pas dû t'adresser à mon patron. Tic Tac Tic Tac. Chaque seconde passe et ta mort approche. Tic Tac Tic Tac. Souviens-toi bien de Barry Le Boucher. Tic Tac Tic Tac. N'oublies pas qu'il a envoyé le Diable te tuer."
Et j'enfonce mon hachoir à plusieurs reprises dans son corps. Je l'entends hurler puis pousser son dernier souffle. J'ai déjà fini de jouer. Le morceau de viande qui jonche à côté de moi pourri déjà. Je ne vais pas le rapporter au patron. Je vais juste aller dormir. Demain, j'aurai d'autres victimes ..."
Coco Hawkeye-
Nombre de messages : 1934
Age : 30
Localisation : Dans un certain placard >w>
Date d'inscription : 28/04/2008
Fiche de Vie
Niveau de RP:
(10/20)
Point de vie:
(300/300)
Expérience:
(50/300)
Re: Questionnaire
Mon nombre de ligne dépend mais j'essaie de faire un minimum de 10.
je dirais, 6.5/10 peut-être ?
Il fait beau. Il fait chaud. Je hais la chaleur. Je détéste sentir mon corps transpiré sous la chaleur etouffante. Je reste dans cette rue, seul endroit qu'il me reste. Seul maison que ce monde pourri m'a autorisé a utilisé. Cette maison, je la partage avec les animaux errants: chats, chiens, pigeons... et les pauvres fous qui la traversent. Je hais quand quelqu'un vient dans ma maison. A ce moment-la, je ne controle plus rien. Le sang sur les murs est la seule preuve de mon existance dans ces moments la. Depuis le temps je me suis habitué a cette odeur mais au début, je vomissais a chaque fois. Quelle ironie. J'extermine puis je vomis, et après j'enterre le cadavre. Et ensuite, j'attend. J'attend que la mort me prenne a mon tour, mais c'est comme si j'étais condamné a resté içi. Sur cette terre que je hais, pour l'éternité...
Tiens, quelqu'un passe. Un militaire. Je hais les militaires. Ils se croivent si forts, si supérieurs. Alors qu'ils ne valent pas mieux que moi, qu'ils sont des grains de poussiéres comme le reste de l'humanité. Mais.... Non ne fais pas ça ! Ne tourne pas dans ma rue ! Ne viens pas ! Non ! NON !
Le sous-lieutenant Kiba entrait dans la rue quand il vit quelqu'un s'effondrer dans la dite rue. Il se précipita vers la jeune fille.
- Est- ce que ça va ?
Soudain, il sentit une horrible douleur dans le dos. La jeune fille lui avait planté un couteau dans le dos, de façon a ce qu'il souffre mais pas a ce qu'il meurt.
- Oh oui, ça va très bien.
Elle retira son couteau et poussa le militaire contre le mur d'en face. La jeune fille souriait avec un sourire qui glaça le sous-lieutenant.
- Alors, que vais-je faire de toi maintenant ? dit-elle en se léchant les babines.
Elle fit tourner son couteau entre ses doigts, tout en gardant le soldat coller contre le mur. Finalement, elle planta son arme dans ses jambes, partant des pieds pour remonter jusqu'au cuisses. Le militaire hurla mais la tueuse le gifla, laissant la marque de ses ongles sur sa joue.
- Tu vas la fermer oui ?
Elle approcha sa bouche du cou de l'homme et le mordit jusqu'au sang, buvant le liquide au gout de fer, comme un vampire. L'home émit un hoquet avant de s'effondrer, mort. La fille elargit son sourire avant d'éclater de rire. C'était si joussif.
Je me réveille enfin, sortant enfin de ma torpeur. Je secoue la tête et regarde mes mains. Je tiens un couteau ensanglanté et mes mains sont devenues entiérement rouge. Puis je dirige lentement, très lentement, mon regard vers le cadavre. Je m'agenoulle et vomit. Mes tripes, le sang, mon âme. Ca faisait longtemps, que je n'avait pas perdu le controle de moi-même. Je tente de reprendre ma respiration. Je traine le corps vers la berge, je vais l'enterrer près du fleuve, avec les autres. Mes larmes, se mellant au sang et a la terre.
Il fait beau. Il fait chaud. Je hais la chaleur....
je dirais, 6.5/10 peut-être ?
Il fait beau. Il fait chaud. Je hais la chaleur. Je détéste sentir mon corps transpiré sous la chaleur etouffante. Je reste dans cette rue, seul endroit qu'il me reste. Seul maison que ce monde pourri m'a autorisé a utilisé. Cette maison, je la partage avec les animaux errants: chats, chiens, pigeons... et les pauvres fous qui la traversent. Je hais quand quelqu'un vient dans ma maison. A ce moment-la, je ne controle plus rien. Le sang sur les murs est la seule preuve de mon existance dans ces moments la. Depuis le temps je me suis habitué a cette odeur mais au début, je vomissais a chaque fois. Quelle ironie. J'extermine puis je vomis, et après j'enterre le cadavre. Et ensuite, j'attend. J'attend que la mort me prenne a mon tour, mais c'est comme si j'étais condamné a resté içi. Sur cette terre que je hais, pour l'éternité...
Tiens, quelqu'un passe. Un militaire. Je hais les militaires. Ils se croivent si forts, si supérieurs. Alors qu'ils ne valent pas mieux que moi, qu'ils sont des grains de poussiéres comme le reste de l'humanité. Mais.... Non ne fais pas ça ! Ne tourne pas dans ma rue ! Ne viens pas ! Non ! NON !
Le sous-lieutenant Kiba entrait dans la rue quand il vit quelqu'un s'effondrer dans la dite rue. Il se précipita vers la jeune fille.
- Est- ce que ça va ?
Soudain, il sentit une horrible douleur dans le dos. La jeune fille lui avait planté un couteau dans le dos, de façon a ce qu'il souffre mais pas a ce qu'il meurt.
- Oh oui, ça va très bien.
Elle retira son couteau et poussa le militaire contre le mur d'en face. La jeune fille souriait avec un sourire qui glaça le sous-lieutenant.
- Alors, que vais-je faire de toi maintenant ? dit-elle en se léchant les babines.
Elle fit tourner son couteau entre ses doigts, tout en gardant le soldat coller contre le mur. Finalement, elle planta son arme dans ses jambes, partant des pieds pour remonter jusqu'au cuisses. Le militaire hurla mais la tueuse le gifla, laissant la marque de ses ongles sur sa joue.
- Tu vas la fermer oui ?
Elle approcha sa bouche du cou de l'homme et le mordit jusqu'au sang, buvant le liquide au gout de fer, comme un vampire. L'home émit un hoquet avant de s'effondrer, mort. La fille elargit son sourire avant d'éclater de rire. C'était si joussif.
Je me réveille enfin, sortant enfin de ma torpeur. Je secoue la tête et regarde mes mains. Je tiens un couteau ensanglanté et mes mains sont devenues entiérement rouge. Puis je dirige lentement, très lentement, mon regard vers le cadavre. Je m'agenoulle et vomit. Mes tripes, le sang, mon âme. Ca faisait longtemps, que je n'avait pas perdu le controle de moi-même. Je tente de reprendre ma respiration. Je traine le corps vers la berge, je vais l'enterrer près du fleuve, avec les autres. Mes larmes, se mellant au sang et a la terre.
Il fait beau. Il fait chaud. Je hais la chaleur....
Mira Hawkeye-
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Re: Questionnaire
1)Ca dépend aussi si je suis motivé ou pas.Je peux en faire trente comme dix.(bon,en tant que Fanficeuse,je met quand même un point d'honner sur la naration^^)
2)Ben,mon orthographe global serait un petit 7/10 sans me relire mais comme j'utilise un correcteur d'orthographe X)(oui,je triche...)
Pour le RP,je le ferait plustard aussi,promis(j'éditterais)
2)Ben,mon orthographe global serait un petit 7/10 sans me relire mais comme j'utilise un correcteur d'orthographe X)(oui,je triche...)
Pour le RP,je le ferait plustard aussi,promis(j'éditterais)
Roy Mustang- Admin
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Re: Questionnaire
Pour le nombre de lignes, je ne sais pas vraiment; je peux techniquement remplir une page word, ensuite la mise en page sur le forum étant différente je ne peux certifier le résultat. Ensuite pour l'orthographe, je dirais 9 puisque les conjugaisons sont d'ignobles petites choses qui donnent bien du fil à retordre.
Hm, désolé pour la fin abrupte seulement je n'avais pas vraiment le temps sur le moment, alors j'espère que ça convient. Au pire, j'éditerai.
- Spoiler:
- Il y a des matins comme ça où, allongé sur le dos, les yeux rivés au plafond, je peux voir grimper le long des murs de longues tiges de lierre aux larges feuilles. La flore envahit progressivement la pièce dans ses tons les plus naturels, se mouvant dans un semi-silence religieux. Mes pupilles ne vacillent pas, se concentrant sur le dernier point de peinture encore visible. En quelques minutes, une mousse épaisse d'un vert profond recouvre le sol et une chaleur moite se colle à mon front. Cette invasion, bien que j'y sois habitué, me terrifie autant qu'elle m'hypnotise et m'obsède. Elle fait remonter en moi d'anciens souvenirs enfouis, comme autant de boîtes à musique que jamais je n'aurais voulu ouvrir à nouveau après les avoir scellées. Bientôt une voix, que je connais sans parvenir à identifier, murmure subtilement près de mes oreilles. Je la sens tendre la main plus que je ne la vois et instinctivement, mon propre bras s'avance et mes doigts se referment sur le vide qui compose les siens. Une légère décharge électrique me parcourt les veines, fourmillant sur mon épiderme, grouillant en-dessous; elle continue sa course à contre-courant et remonte jusque mon cœur qu'elle attaque d'un coup de dents. Dans un flash, une succession d'image envahit mes pensées, troublant ma vision. Je parviens à identifier une rue pavée, l'uniforme bleu propre aux militaires. Une silhouette s'approche de lui, j'ai l'impression que c'est moi, ou plutôt que je vois à travers ses yeux. La soif de sang, elle, est lointaine; tous mes sens sont en alerte et bien que je ne voie plus rien désormais qu'un voile noir opaque, je devine la violence des coups.
En un sursaut je sortis de ma torpeur, écœuré, le visage en sueur; le monstre de la rue de la Mort avait encore frappé. Mon cœur affolé se débattait, comme voulant s'extraire de ma cage thoracique au plus vite. Je me relevai le plus lentement possible avant de me diriger vers la salle de bains où je m'aspergeai d'eau fraîche: pas question de sortir chasser tant que mes vertiges perduraient, ce qui prenait usuellement entre cinq et sept minutes. Cela fait, je me changeai en hâte; si j'arrivais trop tard, les autorités auraient déjà envahi les lieux et rendraient mon inspection difficile voire impossible. Avant de sortir j'attrapai la paire de matraques que je dissimulais sous mon oreiller et les cachai furtivement dans les manches évasées de ma chemise. Cette fois encore, je priai intérieurement pour que le meurtrier ait laissé des traces susceptibles de me mener à lui.
J'avais décidé de me rendre à pied sur le lieu du crime présumé, ayant remarqué la luminosité extérieure. Comme je l'avais estimé, les rayons dardaient les passants d'une chaleur implacable, les poussant à se retrancher dans la fraîcheur sombre des bars. Encore une excuse comme une autre pour s'enliser dans l'alcool et s'enivrer de belles paroles, me dis-je en passant devant l'un de ces lieux de débauche. Enfonçant mes mains dans mes poches pour me retenir d'aller cogner ces ivrognes bons à rien, je poursuivais mon chemin en direction d'une ruelle peu fréquentée, surnommée depuis quelques temps la ruelle de la mort. En effet, elle avait récemment été le théâtre de décès étrange: les victimes, sans lien réel les unes avec les autres, étaient impitoyablement torturées avant d'être abandonnées au sol où on les retrouvait gisant dans leur propre sang. On aurait pu se croire dans un remake de Jack l'éventreur tant l'affaire faisait grand bruit; les bouchers furent les premiers suspectés mais, sans preuve, aucun ne fut inquiété. S'ensuivirent les chimères, les homonculus; tout pour innocenter les humains. Il fallait être un véritable monstre pour attaquer si férocement un être vivant innocent, disent-ils, aussi accuser ces bêtes que nul n'estimait était pour eux la solution de facilité. Pour ma part, je n'y croyais pas vraiment. Tout d'abord, les homonculus n'avaient pas que cela à faire, de plus ils étaient suspectés d'obéir à des ordres précis. Quant aux chimères, bien qu'elles aient des raisons tout à fait valables d'en vouloir aux humains qui les avaient créées pour ensuite les rejeter, il était tout de même rare qu'elles s'attaquent à n'importe qui. Alors, quelle que fut la nature de l'assassin, je ne pouvais me résoudre à incriminer toute un groupe à cause d'un seul individu. Ça et, il fallait l'admettre, je mourais d'envie que ces homicides soient l'œuvre de celui que je chassais depuis si longtemps sans parvenir à mettre la main dessus.
Mes pas résonnaient de façon lugubre contre les pavés incrustés de sang de la ruelle et c'est avec précaution que j'allai plus avant; il serait dommage que le bruit de mes propres semelles claquant contre le sol masquent celui d'un éventuel ennemi; je n'aimais pas être pris de court et encore moins être attaqué par surprise, je devais être celui qui assénait le premier comme le dernier coup. Je me fis moins discret lorsqu'une forte odeur de sang me frappa de plein fouet. Baissant les yeux, je remarquai alors qu'un épais filet de sang coulait paresseusement le long de la voie pavée, teintant davantage encore le ciment de cette même nuance vermeille qui s'étalait sur les murs alentours. Fronçant le nez, je suivis cet indice macabre jusqu'à découvrir le cadavre, caché derrière une pile de caisses en bois. Un haut-le-cœur me prit et je détournai le regard: l'homme, ou du moins sa stature laissait penser qu'il s'agissait bien d'un individu de sexe masculin, était couvert de plaies béantes bien à vue. Pourtant ce n'étaient pas ses blessures qui m'avaient fait tourner la tête, j'avais l'habitude de tels spectacles à présent. Non, ce qui avait attiré mon attention était le petit tas de viscères qui avait été rassemblé à côté de lui. Ces organes cependant, bien trop petits pour appartenir à un adulte de cette taille, devaient bien provenir de quelque part… Je scannai des yeux la scène, de bas en haut. C'est en observant le mur à ma droite que je fis une autre sinistre découverte: un jeune chien avait été crucifié, accroché là comme s'il s'était agi d'un tableau de chasse. Je reculai, en proie à un manque cruel d'oxygène doublé d'une profonde déception; ce n'était pas là la façon de faire de ma proie. Il n'aurait pas assommé le chien –car de ce que je pouvais en voir, l'animal saignait également au niveau de la tête- avant de l'écarteler de la sorte. Tout d'abord il ne s'en était jamais pris à un quelconque animal à la période où il sévissait chez moi, de plus la façon dont le pauvre soldat avait été attaqué, bien que barbare et monstrueuse, manquait cruellement de style. Mon serial killer possédait le sens artistique, hors les lésions portées au torse de l'homme n'étaient même pas symétriques. Tapant rageusement du pied dans une des caisses jouxtant le cadavre, je sortis de la ruelle. Par conscience professionnelle je me rendis à la cabine téléphonique la plus proche afin de prévenir les autorités puis, n'ayant plus rien à faire dans cette ville, allai à l'hôtel pour récupérer mes affaires. Je n'avais cure de Central ou de ses habitants, je n'étais pas venu là pour ça. Qu'ils meurent, ces pauvres alcooliques et ces alchimistes peu scrupuleux. Des herbivores de ce genre, il en naissait par milliers tous les jours, ce n'était pas un ou deux assassinats par semaine qui allait en venir à bout… Malheureusement.
Hm, désolé pour la fin abrupte seulement je n'avais pas vraiment le temps sur le moment, alors j'espère que ça convient. Au pire, j'éditerai.
Hibari Kyouya-
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Re: Questionnaire
Dur dur... ça dépend de mes jours d'humeur... bah entre 10l et 25l au pire. Si c'est un sujet solo (comme celui là) j'en fait bien plus. L'orthographe et tout le tralalala, je m'aide parfois de Word quand ça me revient pas, donc environ: 6.5/20.
Le soleil laissait entrer ses rayons de chaleurs à travers les vitres des fenêtres de la classe, souvent une branche d'arbre les filtrait laissant plus que la couleur verte sur le par terre de carrelage brun de la salle de classe. Lyndia observait la branche se balancer d'avant en arrière sous l'effet du vent, la tête dans ses bras elle soupira, ce cour de mathématique l'ennuyait fortement; elle préférait les cours d'alchimie donné par le vieux alchemist mais celui ci dû abandonner quelque temps ces élèves, le vieux professeur tomba un jour du grand escalier du moulin se fracassant alors la cheville et ce fit une entorse au poignet, ce jour là le moulin avait une aile en morceau et ne pouvait donc pu tourner pour moudre le grain et ainsi faire du pain pour nourir tout le village; un problème de taille que le vieux voulait résoudre au plus vite... Tchtong!
-OUaie!! s'écria Lyndia
-Alors Mlle Inazuma? Votre boîte crânienne sonne aussi creux qu'un tronc vidé!
Rire général dans la classe, comme d'habitude, c'était pas de sa faute si les mathématiques étaient une matière aussi....pénible!! Elle foudroya du regard les personnes qui gloussaient, le professeur repris:
-Normal, à force de dormir pendant mes cours... soupira-t-il, nous étions justement entrain de faire cette opération, allons donc ne faite pas cette tête et levez vous, au tableau!
Ce fut Lyndia qui soupirait intérieurement, si elle devait laisser paraître quoi que ce soit, c'était le coup de règle en fer sur la tête. Lyndia s'approcha du tableau, prit une craie qui traînait sur le bureau et commença son raisonnement...
Le reste de la matinée passa ainsi: cour de math au tableau, seule la sonnerie sauva Lyndia des maths, elle posa la crai, prit ses affaires et se pricipita sur la sortie à la suite des autres; une fois dehord, l'une de ses amies avec un autre garçon de sa classe engagea la conversation en marchant au champs:
-Mais quel idiot ce prof, en plus nos cour d'alchemie son remplacé par ces cours de math en excuse de non conpréhension à sa matière! rageait le garçon
-Je ne comprend pas comment vous ne comprennez pas les maths, c'est pourtant si simple! lui répondit son amie
-Oui mais toi....
-J'ai faim, le fait de m'avoir tapé avec sa règle en fer sur la tête ma donné faim! coupa Lyndia portant les mains à son ventre
Les deux autres la regardait d'un regard l'air de dire: "tu n'as jamais changé la dessus!"
-Tu ne changera jamais là dessus, comme les maths quand on est nul, on est nul! ajouta son amie en regardant Lyndia et le garçon du coin de l'oeil.
Lyndia s'approcha d'elle à petit pas et lui tira les joues:
-Qu'es que tu insinus là? Finalement c'est toi que je mangerais bien à midi!
-Pff, je ne te la conseille pas, du deviendra aussi intello que elle! Et donc très pénible à supporter pour ton entourage! rajouta le garçon
Il lui tira la langue, et comme prévus la jeune fille visée lui couru après:
-Tu vas voir toi!!
-Et toi tu ne m'attraperas jamaiiiiis!!
Il couru à toute vitesse suivit la jeune fille et Lyndia s'écriant:
-T'es vraiment débile! Mon casse croûte s'enfuie!!! A...atendez moi, non mais!
Lyndia 8 ans, fit renverser, dans sa course poursuite avec les deux autres, un étalage de légume entier. C'était une des journées entières quotidiennes et bien mouvementées dans la vie de Lyndia.
Le soleil laissait entrer ses rayons de chaleurs à travers les vitres des fenêtres de la classe, souvent une branche d'arbre les filtrait laissant plus que la couleur verte sur le par terre de carrelage brun de la salle de classe. Lyndia observait la branche se balancer d'avant en arrière sous l'effet du vent, la tête dans ses bras elle soupira, ce cour de mathématique l'ennuyait fortement; elle préférait les cours d'alchimie donné par le vieux alchemist mais celui ci dû abandonner quelque temps ces élèves, le vieux professeur tomba un jour du grand escalier du moulin se fracassant alors la cheville et ce fit une entorse au poignet, ce jour là le moulin avait une aile en morceau et ne pouvait donc pu tourner pour moudre le grain et ainsi faire du pain pour nourir tout le village; un problème de taille que le vieux voulait résoudre au plus vite... Tchtong!
-OUaie!! s'écria Lyndia
-Alors Mlle Inazuma? Votre boîte crânienne sonne aussi creux qu'un tronc vidé!
Rire général dans la classe, comme d'habitude, c'était pas de sa faute si les mathématiques étaient une matière aussi....pénible!! Elle foudroya du regard les personnes qui gloussaient, le professeur repris:
-Normal, à force de dormir pendant mes cours... soupira-t-il, nous étions justement entrain de faire cette opération, allons donc ne faite pas cette tête et levez vous, au tableau!
Ce fut Lyndia qui soupirait intérieurement, si elle devait laisser paraître quoi que ce soit, c'était le coup de règle en fer sur la tête. Lyndia s'approcha du tableau, prit une craie qui traînait sur le bureau et commença son raisonnement...
Le reste de la matinée passa ainsi: cour de math au tableau, seule la sonnerie sauva Lyndia des maths, elle posa la crai, prit ses affaires et se pricipita sur la sortie à la suite des autres; une fois dehord, l'une de ses amies avec un autre garçon de sa classe engagea la conversation en marchant au champs:
-Mais quel idiot ce prof, en plus nos cour d'alchemie son remplacé par ces cours de math en excuse de non conpréhension à sa matière! rageait le garçon
-Je ne comprend pas comment vous ne comprennez pas les maths, c'est pourtant si simple! lui répondit son amie
-Oui mais toi....
-J'ai faim, le fait de m'avoir tapé avec sa règle en fer sur la tête ma donné faim! coupa Lyndia portant les mains à son ventre
Les deux autres la regardait d'un regard l'air de dire: "tu n'as jamais changé la dessus!"
-Tu ne changera jamais là dessus, comme les maths quand on est nul, on est nul! ajouta son amie en regardant Lyndia et le garçon du coin de l'oeil.
Lyndia s'approcha d'elle à petit pas et lui tira les joues:
-Qu'es que tu insinus là? Finalement c'est toi que je mangerais bien à midi!
-Pff, je ne te la conseille pas, du deviendra aussi intello que elle! Et donc très pénible à supporter pour ton entourage! rajouta le garçon
Il lui tira la langue, et comme prévus la jeune fille visée lui couru après:
-Tu vas voir toi!!
-Et toi tu ne m'attraperas jamaiiiiis!!
Il couru à toute vitesse suivit la jeune fille et Lyndia s'écriant:
-T'es vraiment débile! Mon casse croûte s'enfuie!!! A...atendez moi, non mais!
Lyndia 8 ans, fit renverser, dans sa course poursuite avec les deux autres, un étalage de légume entier. C'était une des journées entières quotidiennes et bien mouvementées dans la vie de Lyndia.
Lyndia Inazuma-
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